Mauvais temps

Prudence sur la route du Tronquoy

Sur la route du Tronquoy, à hauteur du souterrain  il faut redoubler de prudence, La pluie, le vent déracinent les marronniers. Celui-ci, sa tête s'est écrasée sur la route.

 

Le chêne du calvaire élagué pour prendre de la hauteur

 

Bientôt avec le printemps, le calvaire de Lesdins nous offrira une palette de couleur qui fera le plaisir  de tous les lesdinois ,et des automobilistes.

Vendredi 23 janvier un travail d'élagage a été entrepris au calvaire de Lesdins pour rafraichir le chêne, et lui permettre de s'élancer à nouveau vers les cieux. C'est à Dominique Brée adjoint au maire de Lesdins, à Eric Lanne que nous devons ce chantier.  La nature est endormie, la période est idéale pour toutes ces taches liées à l' entretien des arbres, et des massifs. Un grand merci à tous ceux qui participent et nous soutiennent pour l' entretien de ce site. 

Le premier novembre 1990 la commune de Lesdins inaugurait son calvaire.

    En y regardant de près la croix commence à être recouverte par les branches. 

Construction à la croisée des routes, et symbole aux multiples significations.

  Population, fidèles et élus n'ont pas manqué cette cérémonie devenue exceptionnelle en ces temps modernes. Histoire de notre calvaire et celle du chêne qui se trouve  au pied de la stèle.

  Pour ce qui  est du calvaire,  reprise de l'article du journal l'Aisne nouvelle du  3 novembre 1990 : Ce calvaire a été inauguré le jour même de la Toussaint. Situé à l'angle de la rocade du CD 8,  ce calvaire est en réalité le second que compte sur son territoire la commune de Lesdins, un premier étant à l'entrée du village de Levergies (peu de lesdinois connaissent son emplacement).
  Le pourquoi de cette initiative? Le maire Alain Richet l'a évoqué lors de son intervention au pied de la construction : la commune de Lesdins était certainement une des seules communes de France  à ne pas avoir de calvaire à l'intérieur du village. Alors l'idée a été proposée au conseil municipal et  acceptée. Il restait à trouver un bon emplacement  et un propriétaire susceptible de donner le terrain.C'est un docteur de Cambrai et son épouse qui ont permis cette réalisation. M le Maire en profita pour les remercier  tous les deux ici présents. Il remercia également le personnel de Lesdins avec à sa tête monsieur Duquesne pour la réalisation de la croix en fer forgée et du massif de fleurs  (ils ont œuvré avec cœur a déclaré le maire). Remerciements également aux  élus ainsi que ceux des alentours: M Ponthieu, Mme Proy et M Pezant, respectivement maires de Fonsomme, Estrées et Magny La Fosse.

  C'est l'abbé Delbecque qui a béni ce calvaire, non sans formuler le vœu (vu  son emplacement) il incite les automobilistes à lever le pied et à respecter la vie.  

  M Richet n'a pas omis de remercier toutes les lesdinoises et les lesdinois ici présents,  ainsi que la chorale, et  la participation de Mrs  Delval et Trannoy qui ont fait un apport  de fleurs en tant que responsables de la société d’horticulture de St Quentin. (l'Aisne nouvelle du  3/11/1990)

Reste la petite histoire du chêne

  Pour marquer l'inauguration du calvaire  il m'a semblé bon de planter un chêne au pied de la croix. En 1989  toutes les communes de France ont été invitées à fêter l'événement du bicentenaire de(1789) à cette occasion lors d'une  réunion du conseil municipal nous avons décidé de planter 2 chênes,  un dans le parc du monument aux morts, l'autre sur la place du 43ième RI. Pour agrémenter le tout, une petite fête a été organisée à cette occasion.   Plusieurs jours après,  la commune de Lesdins comme dans bien d'autres communes a  eu la désagréable surprise de constater que nos chênes avaient été coupés.

  Ne voulant pas connaître le même sort pour le chêne au pied du calvaire de Lesdins  le secret a été gardé jusqu'à ce jour.

Ce chêne que vous voyez sur la photo a été prélevé derrière le canal  et planté un soir à la nuit tombante afin de ne pas être vu.

Pour la postérité, il faut conserver en mémoire la date de plantation de ce Chêne le 3 novembre 1990

Il existe de vieux arbres en France, mais bien souvent il ne reste aucune trace  qui marque l’événement. Pour votre information il y en a un qui lui   à1020 ans c'est en Seine Maritime  à Allouville-Bellefosse tout près d’Yvetot. Il vaut le détour !!

Alain Richet

Départ à la retraite

Deux lesdinois, Michèle CARRE et Didier PREVOT ayant travaillé pour le Syndicat Scolaire de Lesdins-Remaucourt sont partis en retraite. La municipalité a organisé un pot de départ en leur honneur le mercredi 20 janvier 2021 à la mairie. Michèle travaillait pour l'école depuis 2016 au poste de la cantine et Didier travaillait depuis 2014 au poste de ménage, d'accompagnant des enfants.

Ils se sont vus offrir un plante verte, des chocolats ainsi qu'une carte cadeau.

Deux autres lesdinoises ont remplacé ces postes avec Aurélie et Samantha.

Samantha, Didier, Michèle, Aurélie et Sophie

Portes ouvertes Ensemble St-Antoine et Ste-Sophie

 

La belle époque marque l'âge d'or du cheval

 Du cheval au maréchal                                                                                                                                       

Dans les campagnes comme dans les villes, pour le labour comme pour la route, le moteur équin est général. Avec l'essor du réseau routier, il a évincé la plupart de ses concurrents de jadis, bœufs et mulets. Les villes sont saturées de voitures hippomobiles et, dans l'agriculture la mécanisation elle-même compte sur les chevaux de trait. Partout, les pavés de grés bruissent de leurs sabots. Aussi un ferrage régulier est indispensable, et le maréchal, omniprésent est un personnage de premier plan au village. Il faut savoir que jusqu'en 1980 la pharmacie de Lesdins n'existait pas. A son emplacement se trouvait la forge et la maison du maréchal ferrant Mr Jules DEFRANCE grand père de Gérard DEFRANCE ancien maire de Lesdins. 

Dans les années 1900 il était fréquent de voir deux, trois générations sous le même toit. Les plus âgés s' occupaient de la bassecour, de surveiller les meules de blé contre tous les rongeurs, du potager ainsi que des menus travaux. Les maisons de retraites n'existaient pas.



 



 

Alerte vigilance orange à la neige

 Notre département est placé en vigilance orange ce samedi 15 janvier 2021 pour risque de neige à partir de 10 heures jusqu'à 22 heures.

Permanence des élus et horaires mairie durant le couvre feu de 18 heures

 

La complicité du bouvier avec ses bœufs dans les années 1930/1950

Le bouvier

Dans maintes régions agropastorales, comme les campagnes du Centre et de l'Ouest, des bœufs assurent les attelages de la traction agricole. Selon une tradition ancrée depuis des siècles, ils fonctionnent par paire harnachés avec un joug fixé  a la tête  par une courroie. Une complicité se crée entre la paire de bœufs  et le bouvier, si bien que la maladie ou le décès de l'un des bœufs  oblige le  métayer à se défaire de l'autre. Pour la conduite au pâturage un bouvier est responsable de  toutes les paires de bœufs du propriétaire. C' est lui qui les soigne, leur donne à manger, et veille à leur santé. La relève pour le travail est assurée par le bouvier qui prend la pose, accoudé au joug de ses bœufs. Sous le soleil de l' été, alors que  l' air est envahi de mouches, l' attelage du jeune bouvier fait halte dans une composition bucolique. Pour le conducteur qui conserve dans sa poche, la montre à gousset d'avant 1914, le temps s'est  arrêté le temps de la pose. Tant que dure le travail du labourage, le conducteur  excite de la voie ses bêtes à cornes, les appelle  par leur nom et leur chante parfois de graves mélopées. 

                                                                         

                                                                         

 

Liste des centres de vaccination pour notre département (ne sont concernées actuellement que les personnes de plus de 75 ans).

 

VIGILANCE ORANGE neige et verglas

 La Préfecture de l'Aisne,en concertation avec la météorologie, informe que les Hauts de France sont placés en vigilance orange pour risque de neige dans la journée et possibilité de verglas en fin de journée ce jeudi 14 janvier 2021.

Une famille lesdinoise à la recherche de leur chat

 

La vie à la campagne dans les années 194/1950

                 Se remémorer des scènes de mon enfance 

76 ans à l'échelle du temps c'était hier. Je me souviens de quelques scènes qui se déroulaient dans les fermes du village. Celle que je vais évoquer est l'abatage suivi puis la transformation du cochon.  Enfants nous étions tous autour des spécialistes pour ne rien rater. Passer une corde à la patte du cochon dans des cris à vous percer le tympan, le sortir de son box, le placer sur une dalle, lui passer un long  couteau dans la gorge afin d'atteindre le cœur.

Les spécialistes nous venaient de Remaucourt Mr Eugène LENGLET accompagé de son beau fils Fernand Falentin ( grand père et père de Marc Falentin) Ci dessous des photos.

 

                                                                 On tue le cochon                                                         

Le sacrifice est un rite traditionnel de la vie rurale. Pour la plus part des paysans, le porc reste la viande par excellence, Cet animal où tout est bon, assure de fructueuses provisions pour l'hiver.                                                                                                                                  A la fin de l'automne, le goret engraissé est tué cérémonieusement et publiquement. L'opération du sacrifice s'opère en  une seule journée, requiert de la force et du savoir-faire. A l'aube, des hommes robustes tirent le cochon de sa somnolence avec une solide corde, lui lient les pattes et l'attache sur une échelle redressée sur un mur de la ferme. Poussant des cris stridents le cochon immolé est livré aux mains expertes du saigneur On récupère le sang pour fabriquer le boudin, en l'agitant avec un peu de vinaigre dans une poêle pour l' empêcher de coaguler. La bête est ébouillantée, Puis le saigneur ouvre le ventre et vide les entrailles. Un adjoint s'empare rapidement des boyaux pour les laver à grande eau : ils serviront à confectionner saucisses  et boudins. Fondue, la graisse est transformée en saindoux par les femmes alors que les hommes récupèrent les morceaux de viande. Il les salent un à un dans des baquets avant de les ranger  en piles, dans de gros saloirs en grès. Ils découpent les jambons et le lard à l'aide du hachoir à viande, arrimé à la table.

 

Arrêté municipal concernant la circulation rue de Picardie

 

Appel au don du sang

 

Des colonnes de Buren au groupe scolaire de LESDINS

 Au groupe scolaire Gérard FRISON, petit parterre minéralisé entre les cours  des petits et des grands

Paris a ses colonnes portant le nom de l'artiste BUREN. Lesdins aura les siennes dans le parc du groupe scolaire. A la demande des enseignantes, qui ont souhaité  cette année dans le cadre du temps prévu pour l'éveil à la nature, choisir la culture du lin. Vaste domaine, la France premier producteur de lin au monde. Quatre-vingt pour cent de sa production sortie des champs en ballots de paille est exportée en Chine pour nous revenir traitée, transformée en vêtements et autres. Pour mener à bien le projet c'est avec l'accord de Fabien Blondel maire de Lesdins, la participation de Eric LANNE, Laurent HOCQUET, et moi-même que l'action sera menée.                                                                                                                                                 

        

  Plan représentant le parterre entre les deux cours d'école. 

Il sera minéralisé avec une bâche spéciale ne laissant pas la végétation s'installer. Une couche de galets recouvrira la bâche.  Les  colonnes une fois peintes, décorées seront placées et remplies de terre végétale. Les enfants sèmeront le lin le dix mars.

 A ma demande une des deux entreprises assurant les travaux d' assainissement sur la commune nous a remis toutes les chutes de tuyaux en pvc et en grès. Reste pour nous à mesurer et à couper.

            Des colonnes nous en avons plus qu'il nous en faut, un autre emplacement sera trouvé.

 

Un nouveau petit lesdinois

La famille GONTHIER s'est agrandie avec l'arrivée d'un petit garçon né le 6 décembre 2020 prénommé Côme qui fait la joie de ses parents et de sa petite soeur Valentine.

La municipalité, par le biais des deux adjointes, a offert le bon de cadeau naissance à la maman.

 

Fermeture de la crèche de LESDINS

        Aujourd'hui 5 décembre la crèche  a  fermé ces portes 

     Pour l'équipe de bénévoles, Il n'aura fallu que 1h15 pour ranger toutes les décorations, les câbles électriques, retirer la paille, repousser à leur place personnages, animaux et refermer les portes. Le bilan est compte tenu de la situation mitigée, seul le voisinage a pu nous donner leurs appréciations. Beaucoup de familles venues avec leurs enfants ont pris des photos. L'équipe contente du résultat a pu se pencher sur l' animation future de la crèche. Je leur ai proposé de réduire la voilure pour l'avenir, et de s'en tenir comme cette année à la présentation de la crèche avec tous ses éclairages. C'est une levée de boucliers que j'ai du affronter. Si la situation sanitaire le permet, à l'unanimité il a été proposé un temps fort et convivial le samedi précédent le jour de Noel, avec si possible l'accueil  par le curé de la paroisse Saint Martin l'Escaut  André LUBENDE. Des chants pourraient être envisagés. Les traditionnelles crêpes pour le bonheur de tous accompagnées de vin chaud, et chocolat. nous régalerons Les jours suivants la crèche éclairée serait ouverte au public comme cette année sans accueil traditionnel.

 Alors que nous faisions des projets sur l' animation à venir: Madame Richet nous faisait la surprise en nous amenant une galette des rois avec une coupe de pétillant.

Oui au tri sélectif !